Nous ne traînons pas longtemps au lit ce matin ni
autour de la table. Juste le temps de transmettre un dernier blog avant la
perte de fonction de nos WiFi At&T et Verizon. Avant que vous ne le demandiez, oui, y'avait une souris! Oui, on l'a attrapé et oui, elle est clamsé !
Dernières emplettes à Watertown et le Pierrôt a eu
l’idée de demander à MapQuest un nouveau chemin pour se rendre à la maison via
les States. C’est finalement très facile et très agréable prendre la route 11 (♫ ♩ ♪ ♫ à
100 miles à l’heure sur la route Onzzzze, Jean-Pierre Ferland ♫ ♩ ♪ ♫) qui nous conduira directement
au Lac Champlain. De là, on devrait être en mesure de trouver notre route.
Le plus merveilleux est qu’il fait beau, pas chaud
(56°F) mais un beau ciel bleu, pas de gros traffic, la limite à 55 MPH, belle
route pour terminer un beau voyage.
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| C'est notre troisième printemps d'arbres en fleurs cette année ! |
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| Ces lits là sont-ils des lits vides ? (Boris Vian) |
Voici à peu près ce que ça donne; Gouverneur, Canton,
Postdam, Depot, Malone et Champlain. C’est à Malone que vous aurez le plus
grand choix pour vos derniers achats mais surtout pour le diesel parce que
nous, on est passé tout droit et on a frôlé la panne sèche car là où l’on s’attendait
d’en trouver, y’en avait pas !!!! C’est évidemment à ce moment que s’allume l’avertisseur
du tableau de bord. C’est finalement
dans le Village de Burke que nous glouglouterons le fuel au prix
extravagant de $3,56 le US galon pour une quantité totale de 19,9 galons sur
une capacité de 26,4. Donc, 6,5 galons à 14 MPG, me semble qu’ils nous font
paniquer vite pour allumer la tite-lumière dans le dash
!!!
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| L'heure de pointe de la 11 ????? |
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| La Floride nous rattrape toujours. |
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| Là-bas, au loin, c'est le plusse beau pays au monde ! |
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| Au pays Amish d'Hopkinton NY, c'est journée de corvée ! |
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| Lui, il a terminé de bonne heure. |
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| Bu-co-li-que ! |
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| Allez, vers le Nord ! |
Arrivée aux douanes de Rouses Point et c’est là que ça se corse un peu car nous ramenons un laurier rouge alien à bord. On pense être correct car on l’a pris chez Home Dépôt et que, peut importe le Home Dépôt des États, selon nous, il doit n’y avoir qu’un seul fournisseur.
On a eu droit à la totale par Monsieur le douanier
Fournier. Plus poli, aimable et prévenant que ça et tu oublies tous les autres
qui se paient un power trip ! Bon, il a trouvé le laurier ! Je crois même qu’il
aurait aussi trouvé la souris si nous ne l’avions attrapée pendant la nuit.
Saisie immédiate, c’est dangereux la terre ! Ouais,
je peux pas vraiment lui opposer quoi que ce soit mais j’ose lui demander :
Juste la terre ou la plante au complet ? Ben , juste la terre. OK, est-ce qu’on
peut couper la plante et la mettre dans l’eau pour lui donner une tite-chance
de voir le plusse beau pays au monde ???? MMMMmmmmmmmmmm…..oui, d’accord.
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| Venise-en-Québec et, au loin, le Mont Pinacle ! |
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| Ça, c'est le dernier bout droit avant la maison. |
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| Là, ça sent vraiment l'écurie ! |
Comme je l’avais estimé, il nous a fallu 7 heures
pour arriver à la maison en incluant l’arrêt chez Monsieur le douanier Fournier. Pour faire
différent, nous arrivons en pleine clarté, c’est agréable mais, immédiatement,
tous les travaux de l’été me reviennent en tête. Wô les moteurs, on verra cela
demain.
Tradition oblige : St-Hubert BBQ mais avec une
variante; c’est le poulet qui viendra à nous et non nous à lui ! Oui, oui, ils
livrent à Brigham ! Ring! Ring! Ring! Que désirez-vous ? Pout! Pout! Pout!
St-Hubert BBQ !
Notre Chatonne se dégêne rapidement et semble miauler
à qui mieux mieux : Je les ai enfin retrouvés! Je savais que je les
retrouverais !!!
Côté plus triste, notre gros Tommy n’est plus là même
si on pense le voir apparaître partout. Dans l’Étang, l’hiver semble avoir été
très difficile, ni la tortue Caroline et aucun de mes gros poissons n’ont passé
au travers. Par contre les petits s’en sont bien sortis et ils sont environ 70
à venir quêter leur nourriture dès mon apparition sur les bords de l’eau. Un
autre été qui commence !
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| Petits poissons deviendront grands ! |
Comme le dit le kékun qu’on a oublié son nom :
Faut revenir pour pouvoir repartir !
