Mardi, 28 avril 2015 : 36 ans, mariés et heureux !





Bonne fête à ma nièce Marie-Andrée et à mon super copain Bob que je ne vois pas assez souvent.

Encore une autre journée avec le mal des oreilles qui est passé de la droite vers la gauche mais j’ai l’intention de faire de mon mieux pour ne pas gâcher la fête. J’ai débuté une série d’antibiotiques que nous avions pris soins d’apporter dans nos bagages.  C’est bien beau le naturel mais chassez le et il revient au galop…dans l’autre oreille !

En ce qui concerne TG2, nous nous sommes rendus compte que le bruit saugrenu ne se produit qu’à 3000 tours et plus. J’ai donc adopté une conduite des plus pépère !

Maintenant, pour Tommy, diabète ? Les reins ? Y’a fouillé dans l’armoire à boissons ? Il titube et passe ses journées caché derrière le sofa. Toujours pas de résultats de la prise de sang. Ça ne regarde pas bien du tout pour le vieux matou !

Nous arrivons au CentreVille de San Antonio vers 13h30 et allons nous stationner probablement au même endroit qu’en 2002. Faudrait regarder nos anciennes photos pour le confirmer. Le prix du stationnement semble se tenir aurour du $15 pour la journée tout autour de ce lieu célèbre qu’est Alamo. Le prix diminue à la même vitesse que vous vous en éloignez.


Devinez de quel édifice il s'agit ?


Tout de même spécial cette Mission de San Antonio de Valero, vrai nom d’Alamo, solidement entouré par toute la modernité du centre-ville alors que ses quatre sœurs se retrouvent en pleine campagne. Et bien, fallait bien que la Ville commence quelque part ! Non ?



Pour les Texans, Alamo représente la soif de liberté et d’indépendance pouvant aller jusqu’à la mort. Décidés à résister devant l’armée de Santa Ana (vous vous souvenez le tr.. d. c.. de l’autre bataille ?), les défenseurs d’Alamo se battirent jusqu’au dernier souffle. Parmi eux, les légendaires James Bowie (les couteaux Bowie), David Crockett (inventeur du Chapeau-Raton) et probablement de l’arrière grand-père de John Wayne mais ce n’est pas prouvé.




Alamo est considéré comme un sanctuaire : On parle pas fort, on enlève sa casquette et cré moi que quelqu’un va te le rappeler si tu oublies puis…..on admire les armes ! Toutes sortes d’armes de 1836 mais aussi des plus récentes et des plus performantes. Interdit total de prendre des photos sauf si vous ne vous faites pas pogner. Ensuite, il y a la visite des jardins où l’on vous invite à méditer sur le sacrifice ultime de ces hommes. J’exagère à peine mais on se croirait dans une cathédrale. Pour ma part, j’offrirais le Film Alamo en boucle continu, ça mettrait un peu d’action.

Le Monsieur en noir fait partie de la brigade anti-photo ! Hé hé !!!



Le Times Square de San Antonio, on s'y réuni le 31 décembre au soir.
J’ai oublié de vous dire que nous sommes passés d’un gros 86°F hier à un 66°F aujourd’hui. On porte allègrement le petit manteau chaud sous la bise.


Suffit souvent de conserver juste la façade pour garder le cachet.


À pied, muni d’un bon plan, c’est vraiment l’idéal pour visiter les alentours et ce n’est pas très grand.

Deuxième arrêt : la Basilique St Fernand où JP2 à mis les pieds lors de son voyage en Amérique. Sylvie mêlait toujours San Fernando et San Fernandino. J’ai dû lui expliquer la différence notoire existant entre Fernand et Fernandel. Le dernier étant loin d’être un saint. 


Bizarre, ici, les photos sont permises !


Prochain arrêt : Market Place où la fête battait son plein samedi soir. Tellement que nous n’avions pas osé y pénétrer. Méchant contraste avec aujourd’hui, une place quasiment désertée mais toujours occupée par le Restaurant Mia Terra, un must ! 




Le Mia Terra, très peu achalandé à cette heure et surtout par ce temps, une décoration à la veux-tu la v’là, des serveuses blanches, rouges et vertes et là, je parle de leur costume. Elle nous a même pris en photo !


Comme le Pierrôt ne peut mâcher à cause de l’enflure, nous nous rabattons sur un repas/déjeuner mou au lieu de l’habituel cocktail crevettes-filet mignon de cette journée, on se reprendra !


Un peu comme la bouffe Cajun, pas beau à voir mais délicieux en bouche !

Il faisait un peu frais pour la Terrasse.


Au Pays du Capitalisme, tous les moyens sont bons pour faire des $$$.


C'est une murale de gens encadrant une murale de gens en train de terminer une murale de lions !


Dernière destination de la journée avant la surprise, le Villita (petit village) ! C’est le secteur
boutique artistique de San Antonio. Peinture, sculpture, artisanat de toutes sortes c’est ici. Le village fait un peu pitié aujourd’hui car on y trouve les restes de clôtures de fortune érigées samedi pour protéger les plate-bandes et autres décorations des pieds négligents des fêtards de tout genre.









Le théatre de Villita, le seul dont la scène est séparée de l'auditoire par un cours d'eau naturel.


Et c’est ainsi que nous nous retrouvons sur le RiverWalk pour exaucer le seul vœu prononcé par Mia Amore, un tour de bateau ! J’veux juste faire un tour de bateau dans les canaux de San Antonio ! Mais oui chéri ! Surtout qu’à $8,25 par personne, c’est pas très cher pour rendre la créature heureuse, viande à chien !


La Madame........était contente !!!!


Partie non naturelle des canaux pour aller chercher les touristes au Centre des Congrès.

Elles représentent les 5 Missions de la San Antonio River.

440,000 tuiles de terre cuite de 1 pouce carrée chacune. Aucune peinture, c'est la couleur naturelle de la terre provenant de 7 pays différents. Chapeau à l'artiste !


La Tour des Amériques, ce serait la troisième plus hautes aux USA.

Les édifices les plus hauts de la ville.


La promenade commentée dure environ 30 minutes et le pilote s’attarde malheureusement plus aux commerces jouxtant la rivière qu’à l’histoire elle-même de San Antonio. Quand même rigolottes ces anecdotes !

Retour sous les 3000 tours, petit repas fromages, raisins, vin et pain puis un film probablement déjà visionné, Inception avec le beau Leonardo (à moins que ce soit Leonardino?).


Ouille, ouille, ouille. Cataplasme chaud aux oignons !

4 commentaires:

  1. Les photos sont excellentes et nous font découvrir San Antonio sous ses meilleurs jours, mais celle de Pierrôt rapporte la palme d'or. Il faudra la faire encadrer pour rire la visite.

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    1. Comme s'il fallait cela pour que Pierrôt fasse rire la visite ! Et non, pas peur du ridicule !

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  2. J'ai déjà entendu l'expression: Avoir les oreilles en chou-fleur. Mais en oignon, jamais.

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    1. Ho qu'elle est bonne ! Est bonne, est bonne, est bonne, est...effrayante !

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