Du 7 au 10 août 2016 : On pédale le Lac St-Jean ! Partie 1 de ?

Du 7 au 10 août 2016 : On pédale le Lac St-Jean !

Ça a commencé par un simple post sur Facebook de mon ami Ghislain comme quoi il y avait maintenant 6 ans que nous avions pédalé le Tour du Lac St-Jean puis, petit à petit, l’idée de remettre cela a grandi et, finalement, nous voici à bord de Forest direction les Bleuets !

De Brigham, le trajet est assez droit vers le Nord en piquant aux travers des rangs, petites routes et autoroutes pour aboutir sur la route 155 entre Shawinigan et Chambord.

Méchant contraste avec les températures Estriennes ! Les nuages noirs amoncellent et se déversent sur nous sans retenue. 

 

À peine le temps d’apercevoir un magnifique arc-en-ciel que le ciel nous en remet une seconde couche. J’espère juste qu’il va en tomber un ti-peu dans mon étang qui a le caquet (et le niveau d’eau) pas mal bas.

 

Finalement, vision magnifique du haut de la côte, le Lac St-Jean s’étale devant nous. Majestueux, il nous laisse toutefois deviner qu’il se laissera difficilement dompter si l’on en juge par le vent et les moutons visibles sur l’eau.

 

 

 

 

La Madame est toujours contente de se promener en Forest !

Le Rigolet, resto-pub et bloc sanitaire !

Y'a même une belle terrasse

Nous nous installons en full autonomie à la plage Le Rigolet de Métabetchouan (Lac-à-la-Croix) qui offre un endroit grâtisse pour les voyageurs de passage. Ça va être parfait pour nous car c’est à cet endroit que Ghislain et Francine doivent nous rejoindre demain matin. De plus, le wifi est fourni par le Pub Rigolet et fonctionne très bien.

 

 

Petite marche sur la plage, déserte à cause du vent et de l’heure, aucune tentation côté baignade. Le Pierrôt appréhende sa journée du lendemain. Le coucher du soleil semble plutôt augurer pour une belle journée.

 

 

 

Il y a six ans, je pédalais régulièrement et j’étais relativement en forme. Six ans plus tard, c’est avec 20 livres en plus, une capacité cardiaque amoindrie et aucune préparation au niveau des cuisses et mollets que je reviens pédaler ici. Bah, on fera ce qu’on pourra !

Première surprise dans la nuit, la voie ferrée, que l’on croyait désaffectée, a repris du service à au moins deux reprises durant notre dodo. La plus surprise fut Cléo ! Pour Sylvie et moi, on se serait simplement cru de retour au Lac Baker !