Samedi, 7 septembre 2013 : Ogunquit, ME.





C’est l’une des journées les plus chaudes qui est prévue aujourd’hui. On commence par faire la randonnée de vélo avec Joshua qui nous fait une belle peur en perdant complètement les pédales; au propre et au figuré. Il nous disait avoir compris le principe du frein à main mais l’on s’aperçoit qu’il pense que cela fonctionne comme un bouton et il nous crie que ça ne fonctionne pas. J’avais filmé le tout mais, pour une raison obscure, cela n’a pas fonctionné. Dommage, j’aurais probablement gagné un prix à America’s Funniest Videos !!!

Il a mis le plus gros de l'argent sur la moto !


On emplit ensuite le coffre de TG-2 car c’est la plage d’Ogunquit qui recevra notre visite. Ogunquit avec ses piscines naturelles qui se forment lorsque la marée descend.

On prend la route vers midi, on s’y attend un peu, la route 1 accueille beaucoup d’automobilistes aujourd’hui et cela nous permet d’admirer la ville de Saco puis celle de Kennebunk.

Sur un bâtiment de SACO

Qu'est-ce qu'ils font en été ?

 
À Kennebunk, on est prêts pour Halloween !

Faut être en moyen pour vivre Ogunquit. Bon, il y en a de moins dispendieux mais le stationnement de la plage est à $20 et, si vous avez confondu le pouch-pouch de crème solaire avec celui contre les maringouins, vous devrez encore sortir le même montant ou laisser le soleil vous rôtir lentement.

Nous sommes arrivés dans les derniers chanceux car, peu après, le préposé sortait sa pancarte LOT FULL.

Pour la plage, comme la marée est à son maximum, tous les plagistes ont été refoulés sur les derniers dix pieds de plage disponible. Nous choisissons de nous installer du côté de la rivière et attendre que Dame nature retire un peu ses eaux.

Beaucoup de monde au mètre carré de sable !
Joshua, Mamie et Papie, tour à tour, braveront les froids flots et joueront aux ours polaires. Les enfants semblent toujours moins sensibles au froid que les adultes !!!


Voici une forêt; le château est dedans ! Antoine de Saint-Exupery.

AH ! Ça me rappelle une autre photo plus au Sud !
 

C’est vers 14h30 que la marée commence à s’inverser et, en quelques minutes, la largeur de la plage passe de 10 à plus de 200 pieds, incroyable ! Il faut vraiment voir ce phénomène. C’est la migration de la chaise pliante suivi de celle du parasol puis de la grande sortie des boules de Boulingrin qui, il n’y a pas si longtemps, était encore un jeu olympique.

Le secret de la marée enfin révélé ! Allez Ouste !

Jusqu'au bateau ? T'es sûr ? Hum, pas certain moi !

La plage reprend ses droits peu à peu !


Après le Cerf volant, le Panda volant et la Pieuvre volante !!

La fille en bleu lui trouvait un fort joli style !

Mais ça n'a pas duré !


Malheureusement, vers 16h00, c’est le soleil qui se fait passer devant par les nuages et cela sonne la fin de la bronzette pour plusieurs.

Ils sont fort sur les parterres de fleurs !


Retour par la route 1 sans trop de circulation. Il faut environ 45 minutes pour retrouver Forest et y transférer un Joshua ayant perdu la notion du temps au Royaume des dodos !

Ron, pitchou-pitchou-pitchou .....


Gros party de l’autre côté du lac. C’est le souper annuel des saisonniers du Paradise. J’ignore quel orchestre s’occupe de la musique mais, WOW, tout simplement extra et nous sommes aux premières loges. Ride, Sally ride ♫ ♪ ♫.

Village des saisonniers !


Pour terminer la soirée, nous nous rendons à la deuxième piscine car le bain tourbillon y est un peu plus grand et Papie est dû pour une longue douche et un gros rasage. Oups, des amoureux semblent avoir élus domicile dans le Spa alors nous nous enlignons plutôt dans la grande piscine. Après une quinzaine de minutes, soit le temps maximum permis par les autorités du camping pour jouir des ballounes, Sylvie et Josh se dirigent avec détermination vers le bain et virent les émules d’occupation double.


Comme Papie est à la douche et qu’il commence à pleuvoir, Mamie et son ti-fils décident de regagner Forest mais, voilà, aucun des deux n’a un sens de l’orientation très développé et ils sont tout heureux que Papie les remettent sur le bon chemin puis les ramènent à bon port.

1 commentaire:

  1. Ça ne devait pas être facile de retrouver son cerf-volant une fois "tombé" à terre, parmi la foule nombreuse!

    Le genre de plage que je fuis à tout prix, mais je comprends qu'on veuille profiter au maximum d'un été trop court au nord.

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