Petite journée aujourd’hui. Comme le retour à la
maison commence à se pointer le bout du nez, les expéditions diminueront de
plus en plus jusqu’à se transformer en mangeage d’asphalte. Autant emmagasiner
le plus de repos possible.
Nous avons ajouté le Nouveau-Mexique ! |
On commence par attendre que la température monte un
peu à l’extérieur. J’en profite pour écrire un peu et mettre les photos à jour.
Ça fera ce travail en moins au moment de publier le blog.
Nous débutons nos activités par une visite du
Visitor’s Center dont l’exposition relate l’histoire des lieux depuis les
premiers habitants jusqu’aux Ranchers François-Jean Rochas, un français du Sud
de la France, et Olivier Lee, bien impliqué dans le commerce et la politique
locale. C’est en apprivoisant le cours d’eau qui sortait du Dog Canyon qu’ils
prospérèrent.
Il y a aussi un petit vidéo qui reprend point par
point l’exposition. On est resté jusqu’à la fin pour être polis avec la dame
qui s’était fait une joie de nous le voir visionner.
Description du sentier de la journée : Partant
directement derrière le Visitor’s Center, il se met immédiatement à grimper de
600 pieds sur une distance d’à peine 0,6 miles. Si vous arrivez en haut pas
trop magané, vous aurez assez de souffle pour poursuivre !
C'est cela du gypse ! La couche blanche sur le dessus ! |
La Lincoln National Forest, très vaste ! |
Tout au fond, les White Sands ! |
Sur le prochain 1,25 miles, le terrain demeure au
niveau. C’est le temps de prendre les photos de paysages, de cactus (sans
oublier leurs fleurs) et d’oiseaux. Vous vous rendrez ainsi jusqu’à une
deuxième montée de 900 pieds sur une distance de ½ mile. C’est là qu’on a
reviré de bord car la dernière montée est de 1300 pieds sur 0,9 mile mais qui
permet d’atteindre le sommet. Tel qu’il est écrit dans le guide, cette dernière
partie est réservée aux randonneurs « sérieux » !!!
Le Pierrôt s’est longuement interrogé sur le pourquoi
d’une si grande et haute hampe florale (oui, oui, c’est le terme exact) des
yuccas et il croit en avoir saisie la raison.
Tu fous les graines au bout d’un grand bâton et,
lorsque le bâton casse, les graines ne peuvent tomber moins loin que la
longueur de la hampe ! Ça évite la compétition et la surpopulation !
Mais oui, encore un lézard ! |
Il a bien fallu redescendre ! |
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