Certains habitants de Galveston prennent les grands moyens pour passer au travers le prochain ouragan. Toutes les habitations en bord de Golfe sont sur pilotis d'une hauteur de 12 à 16 pieds.
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Lui espère s'en tirer en n'offrant pas de prise aux vents ! |
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Lui a plutôt décidé d'utiliser la méthode du bouchon qui flotte. |
Bon, on s’est rendu compte qu’il n’y avait pas
d’interdiction de stationnement dans « l’entre-zone » ! C’est le
quartier résidentiel entre le port et la plage. Nous laissons donc TG2 sur la
25ième et repartons à pédales vers le Pier 21.
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Une partie intérieure du Musée. |
Aujourd’hui, nous visitons le Port Museum et le
bateau Elissa, toute une histoire ! Côté culturel, le Musée nous conte
l’histoire de l’immigration. Il y avait autrefois un film au théâtre mais plus
maintenant, dommage. On nous y conte aussi l’histoire des batailles maritimes
entre le Texas et le Mexique. La Texas Navy comportait à l’origine 4 navires
et, pas vraiment de guerre ! Après seulement 2 escarmouches, il n’en restait
plus qu’un et, encore, parce qu’il était à La Nouvelle-Orléans !!!
C’est l’histoire de l’Elissa qui nous accroche le
plus. À l’époque où les navires se mettaient à la vapeur, un commerçant
américain préféra encore la voile mais, sur une coque de fer ! En Amérique,
pays de forêt, on construisait en bois. En Angleterre, pays déforesté mais de
fer et de charbon, on construisait en fer. Un bateau en bois durait 20 ans, un
en fer en durait 60 !
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Le quartier des officiers. |
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Le timonier tournait le dos à la direction du navire. |
C’est donc l’histoire d’un bateau Écossais, bâti pour
un Américain, qui vint deux fois au Port de Galveston, qui navigua sous 8
pavillons différents, qui perdit ses mats au profit d’un moteur et qui termina
sa carrière d’une façon peu glorieuse à effectuer la contrebande de cigarettes
entre l’Italie et la Yougoslavie.
C’est dans un port Grec alors que ce navire attendait
les torches des dépeceurs de bateaux qu’il fut sauvé par le Port Museum de
Galveston qui recherchait un navire avec une histoire le reliant à Galveston.
Acquis au prix de $40,000, il fut remorqué trans-atlantique et on vous laisse
découvrir sa reconstruction en venant le visiter vous-mêmes.
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Une autre verrouillée sauf le dimanche. |
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C'était fermé, dommage, je crois que je me serais laissé tenter ! |
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Une autre beauté qui attend son Prince charmant rénovateur! |
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Oui, oui, avec air climatisé ! Mais plus de papier du côté des dames ! |
Nos pédales nous mènent maintenant tout à fait à
l’Est de la ville, partie peu développée et au Seawall mal entretenu que le
Pierrôt en perd l’air de son pneu arrière, bof, on répare et on repart. Nous
passons ainsi la journée pédili-pédilus !
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Pourquoi c'est toujours le pneu arrière ?????? |
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Une petite partie du SeaWall qui s'étire sur 9 miles. |
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Un RV Park directo sur la plage (bon faut marcher un peu mais c'est pas loin) Pour les prix; voir Sandpiper RV Park Galveston ! |
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C'est le grand luxe ! Mais trop près de la route à notre goût ! |
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J'vous dit qu'la Madame était contente ! |
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Des casseurs de printemps ! |
Pour l’épicerie, les Publix Winn-Dixie font place au
Kroeger. Plein de spéciaux pour les détenteurs de la carte client-Plus. Toujours
avantageux de prendre ces cartes surtout que l’on ne vous demande aucun
renseignement.
Autre surprise au plein d’essence, le poste Kroeger
annonce $2,09 le galon us. À la pompe, l’afficheur demande si je suis un
client-Plus de Kroeger ! Et comment ! J’insère la carte et, bang, le prix
descend à $1,89 !!!Faites le calcul en litre (3,8) et en $$$$ canadiens (+-20%)!
Petit arrêt dans le stationnement du McDo pour
surprendre nos amours en train de souper. Cela faisait longtemps car les
connections internet du Texas sont actuellement les plus faibles rencontrées à
date. On peut d’ores et déjà affirmer que le T de T Mobile n’est pas pour Texas.
Nous piquons une jasette avec nos voisins de terrain,
lui Ontarien, elle Québécoise. Ils demeurent dans la région d’Ottawa et il
m’apprend de bons trucs sur les diesels dont l’achat immédiat d’une bouteille
de Howe dont je vous reparlerai plus tard. Un beau Class A d’Holiday Rambler
qu’il a déniché à un prix ridicule.
L’autre voisin se nomme André de Baldwin Mills près
de Coaticook. Lui et sa femme voyagent en RoadTrek, ça nous rappelle tellement
notre période Westfalia lorsque nous jalousions tellement les Roadtrek au point
d’être allé visiter l’usine de Safari-Condo. Heureux d’avoir sauté cette étape
et être passés directement au Class C.
Quand à savoir si nous sauterons au ClassA un jour, qui
sait? Le seul qui m’intéresse présentement est le VIA de Winnebago parce qu’il
est monté sur une base Sprinter comme Forest et qu’il ne mesure que 25 pieds.
Tant que nous serons des voyageurs, des itinérants, des Aventuriers, pas question de rouler en
énorme machine.
Ça ne nous passera donc jamais cette manie qu'on a de zieuter les autres VR!
RépondreEffacerMais oui, ça finit par passer.....en même temps que l'arme à gauche !
EffacerCharmant tout ça. Surtout l'histoire du voilier. lol Et les vieilles bâtisses (maisons et église)... superbes.
RépondreEffacerSans être architecte, je préfère de loin le soin que l'on mettait à l'époque pour rendre un édifice beau à l'oeil.
EffacerC'est quoi déjà le facteur de conversion pour convertir des litres en litres? ;-)
RépondreEffacerC'est 1 ! Espèce de petit vite à l'oeil de lynx. Ça prouve que tu t'appliques lors de la lecture et je ne peux qu'apprécier. Je corrige, je corrige !
EffacerT'étais quand même passé à côté du : (prennent les rands moyens) dans la première phrase !
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